L’année 2017 est, pour tout amateur de cinéma français classique, incontestablement l’année Clouzot. En effet, nous fêtons cette année le 110° anniversaire de sa naissance et le 40°anniversaire de sa mort. A cette occasion, est organisée toute une série de manifestation qui cumule cet automne avec une exposition dans la Galerie des Donateurs à La Cinémathèque française (jusqu’en juin 2018) en parallèle avec la rétrospective de son oeuvre (jusqu’au 26 novembre 2017) : Le Mystère Clouzot.
Pour plus de renseignements sur les événements liés à Clouzot, reportez-vous sur le site dédié ici : https://www.clouzot.org.
Signalons que les films ressortent en version restaurée en salles également comme à Paris (cf ici).
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Bien sûr, à notre modeste niveau, nous voulions, nous aussi, rendre hommage à l’un des plus grands réalisateurs français et le faire selon le propos de ce site, c’est-à-dire en reproduisant des articles d’époque liés aux films de Henri-Georges Clouzot.
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Nous avons déjà mis en ligne un post sur Le Corbeau de 1943 :
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Vous avez pu ainsi, si vous l’ignorez, lire que, dans le premier numéro clandestin de ce qui deviendra L’Ecran Français en 1943, que Le Corbeau était “la définition du film nazi pur” ! Cet article sera suivi d’un autre tout aussi scandaleux écrit par le journaliste Georges Adam et le comédien Pierre Blanchar.
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Quoiqu’il en soit en 1947, tout ça est de l’histoire passée et Clouzot, interdit de tourner pendant plus de deux ans, retrouve le chemin des studios et tourne Quai des Orfèvres, un nouveau classique.
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Vous allez pouvoir lire tous les articles (signés Monique Sénez, Jean Thévenot et François Timmory) que lui a consacré L’Ecran Français cette année là.
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Nous poursuivrons notre hommage prochainement…
D’ici là bonne lecture !
Jouvet boit 22 fines à la santé du “Quai des orfèvres”
paru dans L’Ecran Français du 25 février 1947
Le n°22 de la rue des Bourdonnais existe désormais deux fois : si vous allez, non loin de la Samaritaine, demander à la concierge de l’immeuble :
— M. Max Douy, décorateur ?
On vous répondra qu’il habite bien à cette adresse, mais qu’il l’a transférée à Neuilly sur le plateau de Quai des Orfèvres, dont Clouzot vient de donner le premier tour de manivelle.
— Je voulais reconstituer une maison, me dit Clouzot, susceptible d’abriter à la fois tous mes personnages, mais c’était délicat parce qu’ils ont des professions et des genres de vie très variés. En allant un jour chez Douy, j’ai été tout de suite séduit par la cour de l’immeuble : c’est ce qu’il me fallait; nous avons reconstruit le tout sur le plan exact du modèle.
Au premier étage habitent Jenny Lamour (Suzy Delair), chanteuse et Maurice Martineau (Bernard Blier), accompagnateur ; au rez-de-chaussée, c’est l’atelier de photographie de Dora (Simone Renant), amie du couple. Il y a aussi M. Brignon, agent d’affaires et producteur de films, qui a pris les traits de Charles Dullin. Un matin, on le trouvera assassiné ; et c’est au perspicace inspecteur Antoine que reviendra la tâche difficile de débrouiller cette affaire.
— Mon scénario est tiré d’une nouvelle de Steeman, « Légitime Défense », m’explique le metteur en scène ; mais au fond, ça ne se ressemble pas du tout et le film sera plus psychologique que policier.
De fait, M. Antoine ressemble-t-il — les traditionnels godillots à clous exceptés — au classique inspecteur de la P.J. ? Noeud papillon, chemise rayée, un grand mouchoir dont il use bruyamment, et surtout ce caractéristique débit saccadé : Vous l’avez reconnu, c’est Louis Jouvet !
— Tu es prêt, Louis ? demande Serge Vallin, premier assistant.
C’est aujourd’hui que l’inspecteur Antoine commence l’enquête par une visite à Dora. Il s’approche de la table, le dos un peu rond et le regard inquisiteur, en se frottant les mains, et se verse une grande rasade de fine au nez de l’accessoiriste ahuri :
— Ah ben, alors ! Il y a de la « descente », M. Jouvet !
Mais l’inspecteur ne se trouble pas pour si peu. Il tiraille sa petite moustache en examinant longuement une série de photographies dont la vue semble légèrement gêner Dora. Je m’approche : ce sont des « portraits d’art » en tenue plus que légère ; dont la collection distrayait secrètement le mort.
— Où vous êtes-vous procuré ces documents, M. Vallin ?
— Ah! C’est un secret. J’ai donné ma parole de ne pas le révéler.
Comme par un malin plaisir, le son reste en panne chaque fois que les acteurs arrivent au bout de la scène. Clouzot s’impatiente ; Simone Renant, les nerfs tendus, trébuche un peu sur son texte. Seul, Jouvet garde tout son calme et continue à remplir chaque fois son verre au ras bord.
— Maintenant qu’on est parti dans ce truc-là, nous irons à la vingt-deuxième prise, prophétise-t-il.
Il ajoute plus bas :
— Et au vingt-deuxième verre !
Etait-ce une illusion d’optique ? Il m’a semblé qu’à la dixième répétition, l’œil de l’inspecteur Antoine était légèrement… plus brillant.
Monique Senez
Les photographies de Quai des Orfèvres sont créditées Lucienne Chevert D.R.
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Quai des orfèvres
Un style éblouissant au service d’un sujet mince par Jean Thévenot
paru dans L’Ecran Français du 7 octobre 1947
Le film de Clouzot a été primé à Venise pour la perfection de sa mise en scène. Il le méritait, par comparaison avec les autres œuvres présentées à la Biennale. Mais il le méritait aussi dans l’absolu, et il n’est pas douteux que si ce Quai crève le fameux plafond de la banalité, il le doit surtout, sinon uniquement, à sa mise en scène.
C’est si vrai que je viens tout naturellement d’écrire « le film de Clouzot ». Personne, en effet, ne songerait à dire : le film de Steeman, de Thirard, de Francis Lopez, de Max Douy, ni même de Jouvet, quel que soit le mérite des uns et des autres.
Pour une fois, l’éternel problème de l’auteur ne se pose pas. Indiscutablement, l’auteur de Quai du Orfèvres est Clouzot, et n’aurait-il pas écrit personnellement l’adaptation du roman de Steeman, il en eût sans aucun doute été de même.
Tant de personnalité, tant de science cinématographique font davantage regretter la minceur du thème qui leur a permis de se manifester. Car vraiment il manque de consistance, le sujet de ce Quai des Orfèvres.
Jenny Lamour (Suzy Delair) est une chanteuse ambitieuse, pressée d’arriver, fût-ce au prix de ces petits abandons provisoires qui peuvent être si indifférents aux femmes et si insupportables aux maris. Celui de Jenny, Maurice Martineau et Biquet dans l’intimité (Bernard Blier), est un grand méchant jaloux. Comme il est aussi l’accompagnateur de sa femme, qu’il entend ce mot dans son acception la plus complète et qu’il ne la quitte pas d’une semelle, il ne tarde pas à percer ses intentions : Jenny veut se servir du vieux, vicieux et tout-puissant Brignon (Dullin) pour brûler les étapes. Maurice projette donc de lui brûler la cervelle. Mais, quelqu’un le devance. Qui a tué Brignon ? Jenny est persuadée que c’est elle-même puisque, pour se défendre de ses avances prématurées ou excessives ; elle l’a frappé avec une bouteille de champagne et qu’il s’est écroulé sans connaissance.
L’inspecteur Antoine (Jouvet) est persuadé que c’est Maurice sur qui convergent toutes les présomptions. Mais, ainsi qu’il arrive souvent dans la répression du crime, une affaire en éclaire une autre., « In extremis », après une tentative de suicide de Maurice, on découvre que l’assassin est le crapuleux Paulo (Robert Dalban), arrêté pour d’autres forfaits. Et Maurice et Jenny peuvent reprendre paisiblement leur existence laborieuse, où il ne sera plus jamais question de vieux messieurs vicieux.
Malgré son insuffisance, le scénario présente une bonne analyse du cas de l’homme (Maurice) soupçonné d’un crime qu’il n’a pas commis mais qu’il a voulu et failli commettre, et sur le plan de la simple technique du roman policier, la préparation de son inutile alibi est fort bien construite. D’autre part, le récit, à plusieurs reprises, s’évade de l’intrigue policière proprement dite : on tente de nous montrer, le monde de la police tel qu’il est et non tel que le cinéma universel le représente depuis cinquante ans. Cette fois, on ne nous offre en spectacle ni des commissaires moustachus, bon enfant et ridicules, ni de conventionnels record-men de la déduction et du Jiu-jitsu, mais des hommes qui ont choisi ce métier comme ils en auraient choisi un autre, des hommes avec leurs défauts et leurs qualités, leurs travers et leurs élans, leur dureté et leur pitié, leurs petits soucis, leurs tics et leurs rhumatismes.
Malheureusement, cette peinture, sociale est trop délibérément équilibrée pour être parfaitement sincère. Les flics sont des brutes ! Oui, mais sans eux que deviendraient les honnêtes gens ! Ils vous passent à tabac ! Oui, mais voyez comme l’inspecteur est attentionné pour son petit garçon ! etc. On eût aimé peut-être moins d’équité et plus de violence…
En revanche, d’autres concessions, des concessions à la simple facilité, auraient pu être évitées, facilement. Par exemple, l’opposition voulue entre la nuit de Noël, faite pour la joie et la paix, et la poursuite de l’enquête, brutale et rebutante. Enfin, la plupart des personnages secondaires sont dessinés trop sommairement.
Autant de fautes ou de lacunes qu’on déplore, parce qu’elles compromettent sensiblement la réalisme de l’oeuvre, sa première qualité.
Il n’y a pas trente-six recettes de réalisme, mais une seule : l’utilisation systématique du détail.
En tant que metteur en scène, Clouzot y excelle. Nous le savions déjà. Quai des Orfèvres le confirme.
Quoi de plus rebattu à l’écran que la représentation d’un spectacle de music-hall, avec champs et contre-champs montrant tour à four la scène et la salle ? Eh ! bien, de ce poncif usé, Clouzot a réussi à donner une version entièrement renouvelée et constamment attachante. Pourquoi ? Parce que, délaissant fréquemment l’ensemble, il a braqué la caméra sur le détail vrai, sur l’adolescent hébété qui rumine son chewing-gum, sur le bébé qui piaille et la mère qui doit l’emporter précipitamment pour éviter des ennuis avec les voisins…
A cet égard, les images sont admirablement soutenues par le dialogue. Il nous suffit d’entendre l’inspecteur Antoine dire « au plaisir » ou Jenny le prier de prendre les « patins » faute de quoi elle ne pourrait plus « ravoir son parquet », pour que nous soyons convaincus de la réalité des situations. On admirera notamment le départ, le développement de la vie d’une chanson depuis la soupente du marchand de musique jusqu’à la scène du music-hall.
Éclairages, cadrages et photo ne sont pas moins réussis. Et tous les interprètes ont donné le meilleur d’eux-mêmes. Le cas le plus frappant est celui de Jouvet. Pour une fois, il n’est pas le brillant Jouvet, mais le personnage du récit, le terne Inspecteur Antoine.
Le jury de Venise, vous voyez, a donc eu bien raison de distinguer le metteur en scène de Quai des Orfèvres. Quant à nous, notre admiration se doublé d’un vœu. Jusqu’ici, de près ou de loin, Clouzot s’est cantonné dans le genre policier. On aimerait le voir s’intéresser à des sujets plus amples et plus profonds, à ces études sociales qu’il a seulement amorcées avec Le Corbeau et Quai des Orfèvres. De tous nos metteurs en scène, il est sans doute le plus apte à fournir en ce domaine un témoignage original et audacieux. Pourquoi s’en priverait-il ? Nous en priverait-il ?
Jean Thévenot
Suzy Delair était en couverture de ce numéro de L’Ecran Français du 7 octobre 1947
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“Quai des Orfèvres vu par Le Quai des Orfèvres” par François Timmory
paru dans L’Ecran Français du 14 octobre 1947
Casanova, pas le séducteur, celui de la P.J. a été séduit par le faux policier (Jouvet)
Ici même, la semaine dernière, Jean Thévenot, rendant compte de Quai des Orfèvres, écrivait notamment : « On tente de nous montrer monde de la police tel qu’il est et non tel que le cinéma universel le représente depuis cinquante ans. »
Cette impression, qui paraît avoir été généralement ressentie par la masse des spectateurs — critiques compris — est-elle fondée ? Pour le savoir, le plus simple n’est-il pas de se rendre au véritable quai des Orfèvres et, là, de poser la question aux hommes du métier ?
En ce qui concerne le cadre lui-même, pas de doute. Inutile d’interroger qui que ce soit, il suffit de déambuler dans cette aile mitée du Palais de Justice où est logée la P. J. pour constater le souci de minutieuse exactitude qui a guidé Max Douy dans l’établissement des décors, Thirard dans leur éclairage. Ici et là, même mobilier façon Empire dans les bureaux des chefs. Ici et là, les planchers gris des corridors sont tatoués des mêmes « 8 » pissés par les mêmes arrosoirs. Ici et là, le même papier rayé verticalement comme un treillis de bagnard, les mêmes affichettes, notes de service, fiches de recherches qui se décollent des murs comme de la peau morte. Ici et là, la peinture souffre d’ulcères semblables.
Au film de Clouzot, il ne manque pas un bouton de lèpre…
Mais la fresque, brossée par le réalisateur, de la vie de la P. J. en général et de la Brigade criminelle, en particulier, est-elle aussi valable que le cadre où elle se déroule ?
Tel fut le thème de ma conversation avec l’adjoint du commissaire Pinault, M. Casanova, officier de police à la Brigade criminelle.
— Dans l’ensemble, le portrait est ressemblant, me déclare-t-il. Afin de se documenter, M. Clouzot a vécu ici notre vie pendant quinze jours, voyant tout, assistant à tout, allant et venant à son gré. De son point de vue, il est d’ailleurs bien tombé : c’était au moment où nous nous occupions, entre autres, de l’épisode de Champigny, dans l’affaire de Pierrot le Fou. Ce stage n’a pas été inutile ; Quai des Orfèvres est le premier film où je reconnais la police. N’étaient quelques inexactitudes…
Nous y voici donc : je saisis l’occasion.
— Quelles inexactitudes ?
Entre parenthèses, depuis que j’ai pénétré dans les locaux de la P. J., j’ai assez l’impression de vivre dans le funambulesque. Déjà, en parcourant tout à l’heure les locaux, avais-je la sensation, non pas d’inspecter l’original pour le comparer à sa copie, mais bien de me promener dans un décor entre deux prises de vues, quand les projecteurs sont éteints… Et voici que, maintenant, assis dans le fauteuil réservé aux prévenus et aux témoins, c’est moi qui interroge, et non le monsieur d’en face. D’habitude, en ce lieu, les questions partent plutôt de l’autre côté de la table…
M. Casanova sourit :
— Ne croyez pas que je parle d’inexactitude, parce que la besogne incombant au personnage, qui occupe mon poste dans le film, paraît être surtout de se curer les oreilles ! Quant au patron, il a, croyez-moi, d’autres, choses à faire qu’à bougonner et à servir de bonne d’enfant à ses inspecteurs !
« M. Clouzot paraît avoir méconnu la double tâche d’un commissaire de brigade et de son adjoint. Elle consiste, d’une part, à coordonner les recherches des inspecteurs et à tirer conclusion de leurs rapports, de l’autre, à veiller à la légalité des opérations, de façon à éviter les cas de cassation lors des procès. Ainsi, du point de vue juridique, la scène où l’on voit Jouvet dicter, en présence de mon alter ego, la déposition sous serment de Bernard Blier est parfaitement illégale : en réalité, c’est moi qui aurais de nouveau interrogé Blier, d’après les notes que m’aurait fournies l’inspecteur Jouvet. (1)
M. Casanova me signale ensuite, deux ou trois autres erreurs de procédure…
— Et que pensez-vous de la façon dont Jouvet mène son enquête ?
— Il la mène bien, à deux fautes près. Primo, dès le lendemain du crime, il a dû trouver sur son bureau le rapport d’autopsie et, par conséquent, savoir que la mort de Dullin n’était pas due au coup que Suzy Delair lui avait porté avec une bouteille de champagne, mais à une balle de revolver. Pourquoi Jouvet parait-il attendre un mois avant de rechercher l’arme du crime ? Pourquoi le spectateur doit-il attendre la fin du film pour avoir la révélation de ce fait capital ? (2)
« Secundo : Jouvet doit au hasard de constater que l’alibi invoqué par Blier est faux. Or le truc qui consiste à se faire remarquer au début et en fin d’un spectacle et de s’esquiver pendant le cours de la représentation, est trop éventé pour qu’un policier de métier ne fasse pas automatiquement une enquête approfondie. »
L’officier de police hésite un instant, puis :
— Par ailleurs, bien sûr, tout peut arriver, mais, sauf négligence rarissime, on n’incarcère pas un prévenu sans l’avoir fouillé des pieds à la tête et lui avoir retirer tout ce qui pourrait lui servir, soit à s’évader, soit à se suicider. C’est vous dire que Blier n’aurait pas eu une chance sur dix mille de pouvoir s’ouvrir les veines avec le verre de sa montre-bracelet.
Mais l’histoire elle-même, l’enchaînement des faits qui pousse Blier à attirer sur lui des soupçons injustifiés, sont-ils plausibles ?
Ici, M. Casanova est très net.
— Oui. Certes, le cas n’est pas fréquent ; mais, par exemple, chaque fois — ou presque — que l’on frôle l’erreur judiciaire (ou qu’on la commet ! ) ; l’origine en est l’affolement de l’individu soupçonné à tort et qui s’enferre en voulant se sauver. C’est le jaloux qui, comme Blier, a proféré des menaces, ou le délinquant qui a quelque chose à se reprocher, mais pas ce dont on l’accuse.
« En bref, conclura M. Casanova, du point de vue de la vraisemblance, l’œuvre de M. Clouzot est nettement supérieure, à l’ensemble de la littérature policière. Mais la description sans aucune fausse note de notre métier reste encore à faire. »
(1) J’ai fait part à Clouzot des observations de Casanova. Voici, en substance, sa réponse sur ce point :
Je sais que dans la réalité un commissaire à la P .J. et son adjoint sont loin d’être des figurants, mais je sais aussi que Jouvet est une vedette de mon film. Aussi ai-je amplifié son rôle au maximum.
J’ai voulu faire un film criminaliste et non un film policier. Si j’avais posé dès l’abord le problème ; « Qui a tué ? », j’aurais détourné l’attention du public des quatre personnages que je me proposais d’étudier : Bernard Blier, Suzy Delair, Simone Renant et Louis Jouvet.
François Timmory
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Source : Collection personnelle Philippe Morisson
Pour en savoir plus :
Le (très complet) site officiel sur Henri-Georges Clouzot.
La page facebook officiel sur H-G Clouzot.
Le Mystère Clouzot sur le site de la Cinémathèque française.
Quai des Orfèvres sur le site officiel d’Henri-Georges Clouzot.
Quai des Orfèvres sur le blog Mon Cinéma à Moi avec de nombreux extraits du film.
“Retour sur… “Quai des Orfèvres” d’Henri-Georges Clouzot : le retour du banni” sur le site de Europe 1.
Bertrand Tavernier présente Quai des Orfèvres pour Arte en 2015.
Suzy Delair et son tra-la-la dans Quai des Orfèvres (1947).
Suzy Delair et Louis Jouvet dans Quai des Orfèvres (1947).